Exploitation sociale
Exploitation sociale
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
|
|
|
Ce vocabulaire appartient au langage marxiste et désigne les violences des liens sociaux[réf. nécessaire], particulièrement au travail[1].
Les anarchistes[2], les altermondialistes[3] et de manière générale l'extrême-gauche[4] utilisent ce vocabulaire pour dénoncer la domination, l'enfermement et l'esclavage moderne.
Ils considèrent que l'exploitation sociale conduit à l'exclusion sociale qui elle-même ne facilite pas l'émancipation. Pierre Bourdieu va plus loin puisqu'il lui parle d'une exclusion culturelle.[réf. nécessaire]
Une partie de l'extrême-gauche condamne cette déviation sémantique (exploitation devient exclusion) qui s'explique par le refus d'utiliser le langage marxiste. Le discours dominant retire les armes que sont les mots.[5]
Sommaire[masquer] |
Histoire [modifier]
Il apparaît que ce ressenti des violences sociales soit apparu aux mêmes périodes chez Marx, Bakounine, Proudhon et Abraham Lincoln[6].
Voir aussi [modifier]
Bibliographie [modifier]
Filmographie [modifier]
Liens internes [modifier]
Liens externes [modifier]
Notes [modifier]
- ↑ dont l'étymologie tripalium renvoie à un instrument de torture
- ↑ voir l'infokiosque], Increvables Anarchistes, No Pasaran, L'En dehors, Anarchopedia...
- ↑ Comment les riches détruisent la planète d'Hervé Kempf, S!lence, José Bové, Daniel Mermet...
- ↑ que ce soit la presse (CQFD, Le Plan B,...) ou les partis politiques
- ↑ Lire, de Eric Hazan, LQR aux Raisons d'Agir, mars 2006
- ↑ De même que je refuse d'être un esclave je refuse d'être un maître, telle est mon idée de la démocratie.