Mon record de France
J'allais me rendre compte plus tard que mes futures réussites dans les études que je reprendrais par la suite allaient me classer à l'âge de 35 ans à un niveau de classement de un sur 30 000, soit sur un pourcentage de 0,000034 %.A cette époque je ne comprenais pas très bien ce que cela voulait bien pouvoir dire. Mais quand j'obtenais ce score, l'équipe du ministre Pasqua qui est spécialisée sur l'enseignement en France et pour la quelle je travaillais m'avait proposé de faire partie de leur équipe pour créer et diriger des programmes de formation, bien que j'étais devenu à cette époque à la fois dépressif chronique, paranoiaque et alcoolique. Ils auraient du me foutre à la porte à de nombreuses occasions pendant les trois années que je passais chez eux, et ils me déroulaient le tapis rouge malgré que je sois devenu à moitié dingue. En effet j'avais donc vers l'âge de 35 ans réussi à avoir 100 % de réussite par mes élèves au Baccalauréat en sous traitant une formation à l'AFPA.
30 000 formateurs de l'AFPA avaient eu moins de 70 % de réussite, et j'avais eu 100 % de réussite en étant débutant comme enseignant alors que c'était tous des pros. L'AFPA sont en effet les meilleurs de France, en dehors de l'Education nationale.
Mais ce n'était pas cela qui avait impressionné l'équipe de Pasqua. Ce n'était pas le fait que je fasse partie de ces 0,000034 %, bien que cela me fasse atteindre dans la logique environ 200 de QI.
C'était le fait que quand j'avais commencé mon enseignement, non seulement j'étais seul à assurer les formations au lieu d'être à plusieurs enseignants comme à l'AFPA, mais que l'AFPA ne m'avait PAS COMMUNIQUE son programme de formation. Ce qui donc devait mathématiquement et scientifiquement m'amener à 0 % de réussite. J'avais donc démontré aux meilleurs spécialistes de France en enseignement que j'avais réussi quelque chose de virtuellement impossible. Soit créer un enseignement spécial où l'élève arrive à avoir une autonomie totale et peut lui même compléter sa formation et même l'enseigner aux autres élèves. La cellule d'élèves n'est donc plus une cellule statique où la cellule dépend de l'enseignement de l'enseignant, mais cette cellule devient dynamique, c'est à dire qu'elle est capable de s'adapter, de changer d'orientation dans sa progression, et de continuer de progresser malgré l'abscence de l'enseignant.
Le fait de ne pas posséder le bon programme de formation, et le fait d'être absent pendant les deux mois de tests du baccalauréat (au lieu d'une semaine de test environ pour l'Education Nationale), m'avait obligé de mettre au point un nouveau type d'enseignement, dans l'objectif d'avoir 100 % de réussite malgré l'abscence de programme. Et je m'étais donné le défi de 100 %…
Et j'avais suite à la formation une dépression grave et le déclenchement chez moi d'une deuxième psychose : une psychose paranoiaque.