Des images du cerveau montrent que l'amygdale gauche, un centre de la peur, et des structures reliées, sont plus activées chez les jeunes qui ont le trouble bipolaire alors qu'on leur demande d'évaluer l'hostilité de figures neutres. Plus les patients interprètent les figures comme étant hostiles, plus leur amydale était activée.
Ce déficit de traitement d'information peut aider à expliquer les lacunes au niveau des habiletés sociales, l'agressivité et l'irritabilité qui caractérisent le trouble bipolaire chez les enfants suggèrent les auteurs.
Des recherches utilisant l'imagerie par résonnance magnétique montrent que, différemment des adultes qui ont la maladie, l'amydale est plus petite chez les enfnats qui ont le trouble comparativement avec les enfants en santé du même âge.
Utilisant l'imagerie par résonnance magnétique, les chercheurs ont mesuré l'activité cérébrale chez 21 jeunes ayant le trouble et 21 jeunes en santé alors qu'ils évaluaient l'expression émotionnelle de figures. D'autres parties du circuit de régulation des émotions - le noyau accumbens, le putamen et le cortex préfrontal gauche - étaient aussi hyperactifs.
Selon les chercheurs, en identifiant une caractéristique cérébrale qui peut être plus sélective que les critères diagnostics couramment utilisés, cette ligne de recherche peut contribuer à raffiner la définition du trouble bipolaire chez les enfants.
On estime qu'environ un enfant sur 100 présente un trouble bipolaire.
Source: Infozine
Une recherche auprès d'adultes en dépression majeure identifiait le fait de sentir que les autres sont hostiles comme un indicateur possible de trouble bipolaire
Ce déficit de traitement d'information peut aider à expliquer les lacunes au niveau des habiletés sociales, l'agressivité et l'irritabilité qui caractérisent le trouble bipolaire chez les enfants suggèrent les auteurs.
Des recherches utilisant l'imagerie par résonnance magnétique montrent que, différemment des adultes qui ont la maladie, l'amydale est plus petite chez les enfnats qui ont le trouble comparativement avec les enfants en santé du même âge.
Utilisant l'imagerie par résonnance magnétique, les chercheurs ont mesuré l'activité cérébrale chez 21 jeunes ayant le trouble et 21 jeunes en santé alors qu'ils évaluaient l'expression émotionnelle de figures. D'autres parties du circuit de régulation des émotions - le noyau accumbens, le putamen et le cortex préfrontal gauche - étaient aussi hyperactifs.
Selon les chercheurs, en identifiant une caractéristique cérébrale qui peut être plus sélective que les critères diagnostics couramment utilisés, cette ligne de recherche peut contribuer à raffiner la définition du trouble bipolaire chez les enfants.
On estime qu'environ un enfant sur 100 présente un trouble bipolaire.
Source: Infozine
Une recherche auprès d'adultes en dépression majeure identifiait le fait de sentir que les autres sont hostiles comme un indicateur possible de trouble bipolaire