Effet Croyance

Croyance

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La croyance est le fait de tenir quelque chose pour vrai, et ceci indépendamment des preuves éventuelles de son existence, réalité, ou possibilité. Par métonymie, le terme désigne aussi l'objet de cette croyance. Le concept philosophique de croyance fait partie de la théorie de la connaissance. Les croyances (religion ou autres) sont aussi un objet d'étude de l'anthropologie culturelle.

la légende du Phénix renaissant de ses cendres est une croyance en la résurrection si empreinte dans la civilisation européenne qu'elle est passée sur les plans symbolique et littéraire.détail du bestiaire d'Aberdeen, XIIe siècle
la légende du Phénix renaissant de ses cendres est une croyance en la résurrection si empreinte dans la civilisation européenne qu'elle est passée sur les plans symbolique et littéraire.
détail du bestiaire d'Aberdeen, XIIe siècle


Sommaire

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Sens général [modifier]

Le terme croyance a deux usages aisément distinguables: d'une part le rapport de l'individu à la divinité, à la cosmogonie et aux mythes, et de l'autre les hypothèses, tenues pour vraies, relatives au choses de la vie courante (par exemple: «je crois qu'il fera beau demain», «je ne crois pas que les dauphins soient des poissons»). Selon les milieux où il est utilisé, ce mot prend plutôt l'une où plutôt l'autre des significations, sans qu'il n'y ait jamais de frontière nette entre les deux acceptions. Dans la vie courante, on l'utilise plutôt avec la première acception, alors que dans les domaines philosophiques ou sociologiques, on l'utilise plutôt avec la seconde acception. Le phénomène de croyance peut donc être traité comme mécanisme psychologique régissant l'appréhension de la réalité par l'individu ( La Croyance ), mais aussi spécifiquement pour Les Croyances, relatives aux grand mythes.

La Croyance [modifier]

Croyance et réalité [modifier]

Dans son acception minimale la croyance est un phénomène universel qui concerne tous les individus, et d'une certaine manière tous les êtres vivants: pour entreprendre une action, il faut « croire » à la possibilité de sa réalisation. Cette forme basique de croyance est l'objet d'étude de la stochastique et de la cybernétique. Le principe général mis en évidence par ces deux domaines est qu'un individu (ou aussi, pour les êtres sociaux, un groupe) ne conduit pas ses actions selon un processus causal linéaire mais fait des hypothèses sur leurs résultats, lesquelles seront infirmées ou confirmées; en permanence il vérifie ces résultats par les informations en retour qu'il reçoit de son environnement (la rétroaction ou feedback) et ajuste son comportement en fonction de ces informations. Ce phénomène est largement inconscient dans les actions ordinaires, parce que celles-ci portent le plus souvent sur des comportements hautement prévisibles et que les corrections sur les feedbacks négatifs sont mineures. Ce n'est que lors de corrections significatives (trébuchement, heurt d'un obstacle) que l'on retrouve la conscience que ces hypothèses sur la réalité sont approximatives, que ce que l'on « croit » est une approximation de ce qui est effectivement réalisable - mais une approximation assez fiable.

Cette forme ordinaire et immédiate de croyance induit bien sûr une interrogation sur ce qu'est vraiment le libre-arbitre, et pose la question de l'écart entre notre appréciation de ce qu'est une décision consciente ou inconsciente et la réalité du niveau d'action inconsciente dans nos activités habituelles.

Si le plus souvent la croyance est associée au mysticisme et à la religion, elle fait constamment partie de la réalité quotidienne, dans chaque acte et geste de la vie, dans ce qui semble le plus banal ou anodin. Le doute est le mécanisme qui, en chaque individu, remet en cause l'image qu'il se fait de la réalité. Mais comme il est impossible de remettre perpétuellement toutes ses connaissances en cause pour agir, nous agissons selon une approche plus ou moins fine de la réalité selon nos buts, les situations et les contextes.

Par exemple, croire que le relief d'une région est immuable est suffisant et nécessaire dans les contextes de la vie quotidienne, alors qu'un géologue considérera le relief sous un angle dynamique et à longue échéance.

Selon Ramsey[1], nos actions sont décidées selon une estimation de leur probabilités de réussite, elles-mêmes estimées selon un degré de croyance envers les informations qui conduisent à cette action. Ainsi, toute information est susceptible d'une confiance graduelle, plutôt que d'une adhésion ou d'un rejet catégorique par un individu donné. Ramsey caractérise ainsi cette notion: « le degré d'une croyance est une propriété causale de cette croyance, que nous pouvons exprimer de façon vague comme la mesure dans laquelle nous sommes prêts à agir sur le fondement de cette croyance ».

Au-delà de la décision d'action, basée sur un ensemble de croyances aux degrés plus ou moins élevés, Ramsey pose un principe de vérité de chacune de ces croyances, dépendant du succès de ces actions. Le Principe de Ramsey (Dokic, Engel, 2001) peut être énoncé ainsi: Les croyances vraies sont celles qui conduisent au succès de nos actions quel que soit le désir en jeu. Dans cette formulation, la notion de variation des possibilités d'application de la croyance (comme élément de décision d'action vis-à-vis d'un désir) est cruciale, car elle impose d'appliquer le Principe de Ramsey à un ensemble de situations (et non à une situation particulière), dans lesquelles une croyance déterminée sera impliquée dans des actions dont on pourra estimer le succès.

Croyance d'un point de vue sociologique [modifier]

Au niveau de l'individu, la particularité d'une croyance est qu'elle est ajustée par celui qui y adhère à sa propre réalité, elle est considérée comme vraie et donc investie d'un dynamisme grâce à un ensemble de schèmes d'action. La croyance est donc un des constituants de l'habitus[2]. Si l'expérience permet à chacun de valider ou d'invalider les croyances, les croyances erronées ne sont pas forcément éliminées et cela nécessite une réelle volonté pour tenter de les faire évoluer. La croyance répond à un besoin qui semble s'ancrer profondément dans l'individu et ne peut être gérée librement. La croyance étant consécutive au fonctionnement d'un ensemble de schèmes d'action qui se sont ancrés à un niveau de fonctionnement automatisé dans l'esprit, la difficulté de les faire évoluer s'explique.

Elle trouve autant de moyens d'expression que nécessaire même dans l'empirisme scientifique. Il n'est pas envisageable de la dissocier des activités humaine. Au niveau d'une société, la croyance se retrouve également dans la science même si celle-ci est une production collective réalisée avec des règles strictes et institutionnalisées. La science est un ensemble de savoirs liés à un ensemble de croyances validées empiriquement soumises diachroniquement : elles peuvent évoluer, êtres invalidées et remplacées par d'autres quand de nouveaux résultats apparaissent. Tendre vers l'objectivation du réel, dans le respect de la validité épistémologique, induit la prise en compte de la subjectivité. Cette prise en compte permet une mise en perspective ( Max Weber), une relativisation des concepts obtenus et justement une prise de conscience de l'ensemble des croyances qui filtrent toute réalité. Les technologies sont étroitement liées à l'évolution de l'ensemble des croyances sociales et aux besoins qu'elles servent. Ainsi l'approche conceptuelle proposé par la méthodologie scientifique est primitivement conditionnée par l'ensemble des croyances de ses acteurs. L'adhésion aux théories scientifiques est donc un mécanisme basé sur la croyance, au même titre que tout savoir [3]. Et c'est d'ailleurs nécessaire car le champ de la recherche est inféodé à la croyance. La foi est ce qui décide l'investissement structural et financier de la société dans la recherche et ses applications, car la société a besoin de croire en la possibilité de son salut. [4]

Croyance et science [modifier]

Au niveau de l'individu, la particularité de certaines croyance est qu'elles ne sont pas « testées » par celui qui y adhère, car invérifiables (comme pour la croyance en Dieu). Elles sont donc d'emblée considérées comme vraies. Il n'y a que l'expérience, en effet, qui permet à chacun d'invalider ses croyances erronées et ceci dans un souci d'objectivité.

Au niveau d'une société, cette tâche est assurée par la science. Celle-ci est une production collective bâtie sur l'expérience, le respect de la méthode scientifique et constitue une unité grâce à une liaison et à une confrontation permanentes avec la "réalité". La science remet constamment en doute son contenu et entretient un réseau cohérent de connaissances, par la publication des travaux de recherche. L'adhésion aux théories scientifiques est donc un mécanisme totalement différent des croyances (voir cependant le statut particulier des axiomes et postulats), même si les individus ne peuvent que croire ce que dit la science, faute de pouvoir le vérifier intégralement par eux-mêmes.

La science peut s'opposer radicalement à telle ou telle croyance particulière, comme elle l'a fait par exemple en montrant que la terre tourne autour du soleil, lors du remplacement du géocentrisme par l'héliocentrisme, ou que la création du "monde" ne se date pas en millénaires, mais en milliards d'années, alors que certaines croyances monothéistes ont une autre vision.

La science n'affirme rien de ce qu'elle ne connaît pas, et ne prétend pas tout expliquer. Par exemple la vision scientifique de l'univers est en contradiction avec certaines croyances situant la création du monde il y a seulement quelques milliers d'années, mais ne donne aucun point de vue sur ce qui est au-delà du scénario qu'elle propose, ni même sur ce qu'« au-delà » signifie. Elle laisse donc le champ ouvert à une infinité de croyances .

Croyances autoréalisatrices [modifier]

Il existe des cas où une croyance induit la réalisation des prophéties qui en résultent. Cela peut s'observer par exemple en période de tensions internationales, lorsque des informations concernant la pénurie à venir de tel ou tel bien de consommation circulent. Même s'il n'y a pas de réel risque de pénurie, par exemple en sucre, l'approvisionnement massif de la population crée une réelle pénurie de sucre.[5] Cela peut s'observer aussi avec des individus superstitieux, dans le cas où un signe maléfique déstabilise suffisamment la personne et lui fait adopter un comportement à risques.

Dans l'histoire [modifier]

On trouve chez des penseurs arabes des interprétations très proches des interprétations actuelles. Selon Al-Ghazali, la croyance désigne ce que le cœur accepte et dont il est satisfait. Ainsi la croyance pourra être relative à ce qui est connu, par l'expérience (comme le goût d'un fruit ou la couleur du ciel qui sont connus par l'observation), par le raisonnement (comme le fait que la moitié d'une chose est plus petite que cette même chose entière) ou par la nouvelle sûre (c'est par cette voie que l'on a connu l'existence des terres lointaines et de certains évènements du passé). Ainsi, même sans être allé en Chine ou sans avoir rencontré Jules César, la nouvelle de la constatation de leur existence qui nous aura été rapportée par un nombre de voies tel qu'il exclut pour nous la possibilité raisonnable de croire au mensonge permet de conclure à leur existence. Al-Ghazali qualifiera alors cette croyance de conforme à la science (la connaissance de la personne) et à la raison.

Par ailleurs, la croyance pourra être relative à ce qui n'est pas réellement connu : il distingue alors l'ignorance, le doute et l'estimation personnelle ou la conviction personnelle. Ainsi Al-Ghazali préconise de ne croire que ce qui est su, même si l'on agit parfois selon ses propres estimations, sans pour autant avoir de preuve. Ainsi selon lui, la croyance musulmane est fondée sur ce qui est su à l'exclusion de toute autre source tandis qu'il est valable, dans les jugements, d'agir selon l'estimation des savants et des juges.


Les Croyances [modifier]

Croyances et religions [modifier]

Les religions sont bâties sur un ensemble de croyances, et fonctionnent grâce à des dogmes, ou à des doctrines auxquels le croyant adhère. Le croyant est alors celui qui a la foi, c’est-à-dire qu'il se situe dans un état d'adhésion réfléchie et active aux éléments fondamentaux de sa religion. Les croyances fondamentales varient selon les religions. Selon Tylor, la croyance en une âme immatérielle et subsistant après la mort est à l'origine de toutes les religions, et constitue donc l'élément primordial. De même, Paul Diel[6] présente dans La Divinité un enchaînement logique, sous l'angle psychanalytique, reliant l'animisme au monothéisme, avec l'effroi métaphysique comme moteur principal. L'angoisse de la mort serait donc à la base de la croyance en une divinité. La paléoanthropologie situe l'apparition des rites funéraires dans les sociétés préhistoriques dès - 300 000 ans par des marques de rituels autour des morts, puis avec plus de détails avec des sépultures dès - 100 000 ans. Les concepts d‘âme et d‘au-delà seraient donc nés dans cet intervalle.

Les croyances relatives aux mythes, légendes et divinités sont alors des croyances secondaires sur lesquelles sont bâties les doctrines spécifiques de chaque religion, dont l'observation par les individus conditionne leur sort dans l'au-delà. Selon D'Holbach, seule la peur suscitée par les puissances imaginaires est responsable de l'attitude religieuse. La part de chacune de ces croyances, âme, mythes, êtres divins, varie selon les religions. Par exemple, le Taoisme et le Bouddhisme ne nécessitent pas une croyance en un ou plusieurs dieux, alors que dans les religions monothéistes, la croyance en Dieu est l'élément primordial. Dans tous les cas, cependant, la croyance que la conformation de l'individu à l'ordre des choses révélées par les mythes, ou aux révélations divines, conditionne ce qu'il advient de l'âme après la mort et constitue la base du fonctionnement de la religion et de l'application de ses dogmes.

L'athéisme est l'attitude qui exclut la croyance en l'existence de toute divinité.

Croyances et superstitions [modifier]

La superstition est une attitude faisant intervenir la croyance que certaines pratiques ou faits observés sont en liaison avec un certain déroulement de l'avenir, sans qu'aucune explication de cause à effet ne soit donnée. L'individu superstitieux sortira d'une pièce si le nombre des individus qui s'y trouvent fait partie d'une liste de nombres qui, selon ses croyances, portent malheur.

Cependant, certaines superstitions peuvent découler de réels dangers, et contribuer à les éviter. Ainsi, un aspect maléfique et mystérieux peut être attribué à des montagnes inhospitalières, ou à des rivières dangereuses, car des individus n'en sont pas revenus sans que l'on connaisse les circonstances exactes de leur disparition. Ce type de superstition tend à disparaître avec la diminution des espaces inexplorés, mais était encore fréquent en France au XIXe siècle, par exemple vis-à-vis des canyons.

Évolution des croyances [modifier]

Dans la lignée de sa formulation du darwinisme, basée sur le fonctionnement autonome de réplicateurs (les gènes en biologie), le biologiste Richard Dawkins a émis l'hypothèse, en 1976, que des idées ou des comportements pouvaient suivre les lois de la Théorie de l'évolution. Dans cette conception, les réplicateurs, appelés mèmes, sont des unités d'information qui passent d'un individu à l'autre par la discussion et l'imitation[7]. Les croyances seraient ainsi soumises aux principes de la sélection naturelle et évolueraient d'une façon plus ou moins autonome. La Mémétique est l'étude de ces phénomènes.

Croyances et Dissonance cognitive [modifier]

Les croyances ont tenu une grande importance dans la psychologie expérimentale et notamment dans les travaux se situant dans la lignée de ceux de Festinger sur la dissonance cognitive. Dans cette conception, toute information faisant partie d'un ensemble de croyances reliées entre elles et partagées par une communauté, comme le sont par exemple les divers éléments de croyance d'une religion, est soumise aux principes de la dissonance cognitive, ainsi que tout élément cognitif nouveau soumis à un individu possédant ces croyances. Cela entraîne diverses conséquences[8]:

  • une situation d'inconfort de tout individu percevant la désapprobation des autres membres de sa communauté sur ses opinions,
  • de grandes possibilités de perception erronée ou de mauvaise interprétation des informations, lorsqu'elles entraînent une dissonance avec les croyances d'un individu et que celles-ci ne sont pas modifiées par ces informations,
  • une grande dépendance aux règles de la dissonance cognitive de tous les éléments cognitifs détachés de la réalité et non vérifiables, comme par exemple l'existence de l'âme ou d'esprits.

Festinger montre le rôle du support social dans le maintien des croyances à partir d'un fait divers dans lequel les membres d'une secte, basée sur la croyance en un "contact avec des êtres supérieurs", font une prévision relative à la survenue d'un "cataclysme" à une date précise, et à la "venue d'une soucoupe volante", évènements qui n'ont pas eu lieu à cette date. L'adhésion au "contact avec les êtres supérieurs" s'est maintenue dans un petit groupe de membres de la secte, dans lesquels les liens se sont renforcés, alors que les membres isolés ont abandonné leur croyance. Par la suite, le petit groupe s'est mis à faire du prosélytisme, afin de trouver dans son environnement social un support nécessaire pour éviter une forte dissonance cognitive avec l'échec avéré des prévisions.

Origine(s) de la croyance [modifier]

Citations [modifier]

  • « On pourrait caractériser ainsi la pensée religieuse: c'est la croyance qu'il existe un ordre de choses invisibles », William James.
  • « Le droit au rêve a pour pendant le devoir de vigilance », Henri Broch

Voir aussi [modifier]

Bibliographie [modifier]

  • Victor Brochard, De la croyance
  • Gérald Bronner, L'empire des croyances, PUF, 2003
  • James E. Talmage, Distinction entre foi et croyance (Articles de foi, Salt Lake City, 1890)Site de l'Eglise de Jésus Christ des Saints des Derniers Jours, église des mormons.
  • David Papineau [1], The roots of reason, Clarendon Press, Oxford, 2003
  • Frank Ramsey, Vérité et probabilité, 1926, in Logique, philosophie et probabilités, Vrin, 2003
  • Jérome Dokic, Pascal Engel, Ramsey: Vérité et Succès, PUF, 2001
  • Richard Dawkins, Le Gène égoïste, 1976.
  • Paul Diel, La Divinité, étude psychanalytique, PUF, 1949
  • Emmanuel Anati, La Religion des Origines, Bayard Éditions, 1999 (Édition originale: La Religione delle Origini, 1995)
  • Leon Festinger, A Theory of Cognitive Dissonance, Stanford University Press, 1957

Liens externes [modifier]

  • Foi et croyanceSite de l'Eglise de Jésus-Christ des Saints des derniers jours autrement appelés Mormons.

Notes et références [modifier]

  1. Frank Ramsey, Vérité et probabilité, 1926, in Logique, philosophie et probabilités, Vrin, 2003
  2. lire Bourdieu
  3. pour approfondir le sujet d'un point de vue métapsychologique le besoin de savoir de Sophie de Mijolla-Mellor
  4. pour approfondir le sujet lire Melvin J. Lerner The Belief in a Just World. A Fundamental Delusion. New York, Plénum Press, 1980, XV-209 p , ou lire l'article sur ce texte :http://www.persee.fr/showPage.do?luceneQuery=%28lerner%29+AND+%28indexable_type%3Aarticlepage%3F%29&words=lerner&words=articlepage&urn=assr_0335-5985_1982_num_53_1_2247
  5. Gérald Bronner, L'empire des croyances, PUF, 2003
  6. Paul Diel, La Divinité, étude psychanalytique, PUF, 1949
  7. Richard Dawkins, Le Gène égoïste, 1976
  8. Leon Festinger, A Theory of Cognitive Dissonance, Stanford University Press, 1957
Théorie de la connaissance

Concept · Conscience · Croyance · Dialectique · Empirisme · Épistémologie · Espace · Imagination · Jugement · Langage · Logique · Mémoire · Métaphysique · Pensée · Phénoménologie · Philosophie du langage · Psychologie cognitive · Raison · Rationalisme · Réalité · Science · Sciences cognitives · Sociologie de la connaissance · Temps · Vérité






08/08/2007
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