Jésus de Nazareth - Partie 4

 

Annexes

Articles connexes

Autres approches de Jésus

Articles sur les sources

Autres articles

Bibliographie

Ouvrages et travaux historiens généralistes

  • Les premiers temps de l'Église, présenté par Marie-Françoise Baslez, éd. Gallimard/Le monde de la Bible, 2004 ;
  • D. Marguerat, E. Norelli, J.-M. Poffet, Jésus de Nazareth, nouvelles approches d'une énigme, Labor et Fides/le Monde de la Bible, 2003 ;
  • Dictionnaire encyclopédique de la Bible, éd. Brépols, 1960, Mise à jour 2002
  • Aux origines du christianisme, présenté par Pierre Geoltrain, éd. Gallimard/Le Monde de la Bible, 2000 ;
  • La Bible, Écrits intertestamentaires, Écrits apocryphes chrétiens, coll. La Pléiade, éd. Gallimard, 1987 ;

Historiens et exégètes biblistes

Théologiens et exégètes canonistes

  • Joseph Ratzinger, (Benoît XVI) Jésus de Nazareth, éd. Flammarion, 2007 ;
  • Charles-Harold Dodd, Le Fondateur du christianisme, éd. Seuil, 1972  ;
  • Daniel-Rops, Jésus en son temps, éd. Fayard, 1946; La vie quotidienne en Palestine au temps de Jésus, éd. Hachette, 1961 ;

Revues

Essais

  • Thimothy Freke et Peter Gandy Les Mystères de Jésus, éd. Alethéïa, 2007, ISBN 978-2-917147-00-9 ;
  • Gérard Mordillat et Jérôme Prieur, Corpus christi, Enquête sur l'écriture des évangiles, Mille et une nuits,1998; Jésus contre Jésus, Seuil, 2000 ; Jésus illustre et inconnu, Desclée de Brouwer, 2001; Jésus après Jésus, Seuil, 2004 ;
  • Marie Vidal, Un juif nommé Jésus, éd. Albin Michel, 2000 ;
  • Manuel de Diéguez, Jésus, Fayard, 1985 ;

Ouvrages anciens

Ouvrages confessionnels

Ouvrages d'Art

  • Nissan N. Perez, Revelation - Representations of Christ in Photography, Ed Merrell, 2003, ISBN 1-85894-225-X.

Notes et références

  1. Pierre Geoltrain, Les origines du Christianisme : comment en écrire l'histoire, in Aux origines du christianisme, éd. Gallimard/Le Monde de la Bible, 2000, p. XVII
  2. Michel Quesnel, Jésus et le témoignage des Évangiles, in Aux origines du christianisme, éd. Gallimard/Le Monde de la Bible, 2000, p. 201
  3. Michel Quesnel, Jésus et le témoignage des évangiles, in Aux origines du christianisme, éd. Gallimard/Le Monde de la Bible, 2000, p. 205
  4. Pierre Geoltrain, Les origines du Christianisme : comment en écrire l'histoire, in Aux origines du christianisme, éd. Gallimard/Le Monde de la Bible, 2000, p. XVII
  5. depuis le VIe siècle
  6. Instauré en 321 par Constantin dans une démarche qui contribuera a l'uniformisation de l'empire tardif. Ce n'est toutefois pas alors un jour de repos spécifiquement chrétien puisque c'est « le jour du Soleil, fêté pour le culte qui lui est propre » (en anglais Sunday), cf Pierre Chuvin, Le triomphe du calendrier chrétien, in Aux origines du Christianisme, éd. Gallimard/Le Monde de la Bible, 2000, p.541
  7. le Débat sur le sens littéral du nom Yehoshua provient d'un débat grammatical. L'initiale peut être comprise comme une 3è personne de l'inaccompli du verbe IChR, mais, dans ce cas le sujet est absent. Le BDB-Thayer (version complète) complet termine le mot par un ayin à l'article Ab Yehoshuah`, qui ruine cette étymologie. Il en résulte que le débat est ouvert.
  8. Voir l'article dans le Thayer's Lexicon, in Dictionary and Word Search for Iēsous (Strong's 2424). Blue Letter Bible. 1996-2008 (en)
  9. Toutefois selon le Brown-Driver-Briggs Hebrew and English Lexicon, la référence des dictionnaires d'hébreu biblique, le sens du mot signifie « salut, santé, aisance financière » et tout ce qui a trait au bien-être
  10. « Les pères de l'Églises ne manqueront pas d'utiliser cette homonymie : c'est "Jésus" (Christ) qui assure la victoire finale sur Amalek », in Le Pentateuque. La Bible d'Alexandrie, Cécile Dogniez et Marguerite Harl (dir), Gallimard, Folio Essais, 2003, p. 731, note
  11. Lc 3:28-29)
  12. B. Feldman, Barabbas and the Gospel of Yeshua the Galilean, American Imago New York, 1982, vol. 39, no3, pp. 181-193 et Jean-Paul Michaud, Barabbas, InterBible, 26 /09/003
  13. A six reprises dans les évangiles, sauf Marc, par ex. Mt2 23, et six dans les Actes, par ex. Ac 2:22
  14. Un passage des Actes des Apôtres rapporte que l'avocat Tertulle accuse l'apôtre Paul en ces termes : « Nous avons trouvé cet homme, qui est une peste, qui excite des divisions parmi tous les Juifs du monde, qui est chef du parti [en grec haeresis] des nazoréens. » (Ac 24:5)
  15. Simon Mimouni, Les nazôréens descendant de l'Église de Jérusalem, in Les premiers temps de l'Église, éd. Gallimard/Le Monde de la Bible, 2004, pp. 386,387
  16. à quatre reprises dans l'évangile selon Marc et deux, selon Luc, par ex. Mc 1:24
  17. en grec Ναζαρα, Ναζαρεθ ou Ναζαρετ
  18. Selon B. Gärtner, cette dénomination ne serait pas à rapprocher des mots évoqués précédemment mais, de nesûrîm, « sauvés » ou « rescapés » d'Israël, qui se trouve dans le Livre d'Isaïe (Is 49:6) ; « sauvés » se retrouve en Ac 2:47. Une dérivation de נצר, neser, « descendant, rejeton » est moins convaincante
  19. Simon Mimouni, Les nazôréens descendant de l'Église de Jérusalem, op. cit., p. 387
  20. Michel Quesnel, Les sources littéraires de la vie de jésus, in Aux origines du christianisme, éd. Gallimard/Le Monde de la Bible, 2000, p. 191. C'est là que Quesnel se distingue (marque sa spécificité catholique et française) de la majorité des historiens qui pensent à une rédaction entre 70 et 110 (Marguerat et allii, introduction au nouveau Testament, Labor et Fidès et Raymond E. Brown p.s.s., Que sait-on du nouveau Testament ?, Bayard qui donne la fourchette 68-110. L'exégèse catholique tient beaucoup à ce que la rédaction des évangiles ait commencé avant la destruction de Jérusalem. Pourtant, le manuel de critique textuelle de Léon Vaganay (auteur catholique) et Christian B. Amphoux (auteur protestant), Introduction à la critique textuelle, CERF, expose combien ce vieux débat sur une datation très tôt de la rédaction des évangiles n'a plus de sens dans la mesure où les textes portent la marque de révisions intervenant entre 135 et 150, ce dont Brown convient, précisant que ces corrections sont d'ordre doctrinal.
  21. Pierre Geoltrain, Les origines du Christianisme : comment en écrire l'histoire, in Aux origines du christianisme, éd. Gallimard/Le Monde de la Bible, 2000, p. XVII
  22. Michel Quesnel, Jésus et le témoignage des Évangiles, in Aux origines du christianisme, éd. Gallimard/Le Monde de la Bible, 2000, p. 199
  23. La légende dorée de Jacques de Voragine o.p.
  24. Anne et Joachim, qui reflète peut-être une tradition plus antique, non attestée ailleurs, tandis que leur attache au milieu sacerdotal est attestée dans les textes canonique : le Magnificat est proclamé devant Elisabeth, la cousine de Marie, qui est la femme du prêtre Zaccharie. Savoir de quelle branche aristocratique provient Marie est une question scolastique qui eut son succès au XIe siècle
  25. Michel Quesnel, Jésus et le témoignage des évangiles, in Aux origines du christianisme, éd. Gallimard/Le Monde de la Bible, 2000, p. 201 et 202
  26. d'après les évangiles selon Luc Lc 2:4 et Matthieu Mt 2:i
  27. Quelques historiens et exégètes placent la naissance et mort de Jésus entre les années mentionnées parmi lesquels les chercheurs anglo-saxons : D. A. Carson, Douglas J. Moo et Leon Morris. An Introduction to the New Testament. Grand Rapids, MI: Zondervan Publishing House, 1992, 54, 56; Michael Grant, Jesus: An Historian's Review of the Gospels, Scribner's, 1977, p. 71; John P. Meier, A Marginal Jew, Doubleday, 1991–, vol. 1:214; E. P. Sanders, The Historical Figure of Jesus, Penguin Books, 1993, pp. 10–11, et Ben Witherington III, "Primary Sources," Christian History 17 (1998) No. 3:12–20.
  28. Même si le recensement de la Judée, également évoqué dans l'évangile selon Luc, eut lieu après la déposition d'Hérode Archélaos en 6 de notre ère, quand Publius Sulpicius Quirinius était gouverneur de Syrie, cf. Ernest Renan, Vie de Jésus, Paris, Michel Lévy, 1864, tome 1, p. 232-235.
  29. Pierre Geoltrain, Les origines du Christianisme : comment en écrire l'histoire, in Aux origines du christianisme, éd. Gallimard/Le Monde de la Bible, 2000, p. XVII
  30. Michel Quesnel, Jésus et le témoignage des évangiles, op. cit., p. 201
  31. Michel Quesnel, Jésus et le témoignage des évangiles, op. cit. p. 201
  32. L'évangile selon Luc lui trace une ascendance paternelle et le donne pour fils de Joseph fils d'un Héli fils de Matthan tandis que l'évangile selon Matthieu parle de Joseph fils de Jacob fils de Matthan.
  33. Mt 1:18-25, Lc 1:26-38
  34. Michel Quesnel, Jésus et le témoignage des évangiles, op. cit., p. 202
  35. Étienne Nodet o.p., Qui sont les premiers chrétiens à Jérusalem, in Aux origines du christianisme, éd. Gallimard/Le Monde de la Bible, 2000, p.242
  36. Mc 6:3; François Rossier, Les « frères et sœurs » de Jésus : quoi de neuf ?, in Marian Library/International Marian Research Institute, juin 2007; article en ligne
  37. Mt 12:46-50 et parallèles, cité par André Benoît.
  38. André Benoît, Les personnages de l'Évangile nommés Jacques, in Aux origines du Christianisme, éd. Gallimard/Le monde de la Bible, 2000, p.249
  39. virginité perpétuelle qui est une doctrine catholique et orthodoxe, et qu'il ne faut pas confondre avec la doctrine chrétienne de la Conception virginale de Jésus, ni avec le dogme catholique de l'Immaculée conception de Marie
  40. Dans l'ensemble, l'argumentation sur les frères et les sœurs de Jésus, telle qu'elle est développée dans la philologie actuelle repose sur une critique méthodologique. L'argument traditionnel se réfère aux langues sémitiques qui n'auraient pas de mot pour exprimer cousin. Si les langues sémitiques n'ont pas de mot pour désigner le cousin, le système familial où elles s'expriment est plus complexe que le système familial occidental. Pour désigner ce type de degré de parenté comme tel, c'est à dire l'identité par le rapport entre les filiations, elles précisent "fils du frère de mon oncle paternel" ou "fils du frère de mon oncle maternel". Outre le fait qu'un tel cousin est alors plus précisément situé que par le seul terme cousin, qui, dans les grande familles attire la question de quel côté ? , le cousin de la branche maternelle ne bénéficie pas des mêmes prérogatives que le cousin de la branche agnatique. Dans un autre contexte qu'identitaire, rien n'empêchera de le nommer frère. Cf. Germaine Tillon, Le harem et les cousins, éd. Seuil, 1966. Enfin, on remarque, en particulier chez le philosophe juif Philon d'Alexandrie, un contemporain de Jésus, une tendance à effacer le rôle du père dans les naissances de grands personnages bibliques dans ses commentaires bibliques, Cf. André Malet in Les évangiles de Noël, mythe ou réalité ?, éd. L'âge d'Homme. « Le problème est et demeure difficile à résoudre. Dépouillé de leur visée trop directement doctrinale, les arguments catholiques sont néanmoins à prendre au sérieux » (Encyclopædia Universalis, Jésus (frères de)).
  41. Pierre-Antoine Bernheim,Membre de la Fondation Noésis et du Cercle Voltaire de l’Ecole biblique hors les murs, Jacques, frère de Jésus, Noêsis, 1996; François Refoulé o.p., Les frères et sœurs de Jésus. Frères ou cousins ?, éd. Desclée de Brouwer, 1995. La Vie, 3/11/1994, p. 63; François Blanchetière, Enquête sur les racines juives du mouvement chrétien (30-135), éd. Cerf, 2001, pp.188-204 ; Jacques, frère de Jésus dans la série documentaire Les origines du christianisme de Mordillat et Prieur
  42. Cf François Rossier, op. cit. ; voir également l'auteur Claude Roure, article La famille de Jésus, entre exégèse et dogmatique, in Jésus au regard de l'Histoire, dossier de la revue Archéologie, n° 249, 1999.
  43. Mt 12:46-50
  44. Mt 28:10, Jn 20:17 cf. André Lemaire, Jacques et les chrétiens de Jérusalemn, op. cit., pp. 376 et 377
  45. Lc 2:21-24
  46. La lecture traditionnelle catholique veut que l'offrande présentée à cette occasion soit celle du rachat du premier-né. Cependant, l'offrande de deux tourterelles citée dans l'épisode de la présentation au temple n'est que celle de la purification de l'accouchée (Lv 12:1-8), non celle du premier-né (qui est d'un agneau, cf. Ex 13:1-13). On peut en conclure qu'il n'est pas lui-même racheté (Pidyon haben), mais reste consacré au Seigneur (Ex 22:28), peut-être suivant les règles du Nazirat (Nb 6:1-21) comme son cousin Jean le Baptiste
  47. Cf par exemple Pseudo-Matthieu
  48. « L'influence directe de l'essénisme sur Jean-Baptiste, Jésus ou Paul de Tarse sont moins que probables et indémontrables » Pierre Geoltrain, Les origines du christianisme : Comment écrire l'histoire, op. cit., p. V.
  49. Même si la région faisait partie de l'administration romaine, le latin y était pratiquement inconnu comme langue administrative.
  50. Pierre Grelot, Quelles langues parlait-on au temps de Jésus, in Aux origines du christianisme, éd. Gallimard/Le Monde de la Bible, 2000, pp. 55-59
  51. Pierre Debergé, la Galilée, une terre païenne ?, in Les premiers temps de l'Église, éd. Gallimard/Le Monde de la Bible, 2004, pp.289,290
  52. Pierre Debergé, la Galilée, une terre païenne ?, op. cit., p. 292
  53. Pierre Grelot, Quelles langues parlait-on au temps de Jésus, op. cit., p.55
  54. Pierre Grelot, Quelles langues parlait-on au temps de Jésus, op. cit., p.55
  55. Pierre Grelot, Quelles langues parlait-on au temps de Jésus, op. cit., p.56
  56. Voir Jn 12:20-22, cité par Pierre Debergé, la Galilée, une terre païenne ?, op. cit., p. 293. [[Philippe (apôtre)|]] étant un surnom grec, ce passage suggère qu'il était hellénisant.
  57. Un calcul basé sur ce "moins de cinquante ans" et d'autres allusions présentes dans le même évangile aboutit à 49 ans. Ce peut être tout aussi symbolique. Cet âge correspond au jubilé des jubilés, c'est à dire la période où les terres aliénées changent de mains, où les esclaves sont libérés. Les exégètes qui voient en Jésus un révolutionnaire social prennent ce calcul d'âge en compte. Cf. John B. Cobb,Thomas pris de doute, Van Dieren ed., 1998 qui fait un tableau des nouvelles réceptions de Jésus, y compris les réceptions ethno-théologiques.
  58. Les deux termes ne sont pas différenciés. Voir en latin Charlton T. Lewis, Charles Short, A Latin Dictionary ; et Edward Robinson pour le grec.
  59. Le baptême par Jean, dans le monde complexe des baptistes du Ier siècle, est peut-être original son lien avec les sabéens - ou mandéens - est interrogé par les historiens, cf Claude Tassin, Jean-Baptiste et les baptistes, in Aux origines du christianisme, éd. Gallimard/LeMonde de la Bible, 2000, PP. 177,178
  60. Jean est le fils d'une famille sacerdotale de Jérusalem, où son père Zacharie est grand-prêtre, avec laquelle il semble avoir rompu sans qu'on sache si c'est un ex-pharisien ou un ex-essénien. Cf Émile Puech, Jean-Baptiste était-il essénien ?, in Aux origines du christianisme, éd. Gallimard/LeMonde de la Bible, 2000, pp. 172 et Claude Tassin, Jean-Baptiste et les baptistes,pp. 177,178. Les évangiles montrent une opposition aux pharisiens : Mt 3:7-10 et Lc 3:7-9.
  61. Sa tenue évoque les prophètes et évoque les vêtements d'Élie et il ne fait pas de doute que Jésus l'identifie au prophète qui devait tout remettre en ordre et préparer l'avènement de Dieu, cf. Simon Legasse, Jean-Baptiste et Jésus dans les évangiles, in Aux origines du christianisme, éd. Gallimard/Le Monde de la Bible, 2000, p.184,189
  62. Émile Puech, Jean-Baptiste était-il essénien ?, in Aux origines du christianisme, éd. Gallimard/LeMonde de la Bible, 2000, pp. 171-174
  63. voir Claude Tassin qui cite Mt 11:2-20, Jean-Baptiste et les baptistes, in Aux origines du christianisme, éd. Gallimard/LeMonde de la Bible, 2000, P. 181
  64. Claude Tassin, Jean-Baptiste et les baptistes, op. cit., pp 177-182
  65. voir Gal 3:27-29, cf Claude Tassin, Jean-Baptiste et les baptistes, op. cit., p. 179
  66. Les évangiles synoptiques s'accordent sur le nombre: Mt 10:1-4,Mc 3:13-19 et Lc 6:12-16, mais ne rapportent pas les mêmes listes de nom, qui diffèrent sur des détails. Il faut probablement comprendre que Jude de Jacques est la même personne que Thadée; et que Simon le Cananite est aussi appelé le zélote.
  67. Simon Legasse, Jean-Baptiste et Jésus dans les évangilse, op. cit., p.183
  68. Le seul passage des évangiles où on parle explicitement des "Douze Apôtres" est Mt 10:2
  69. Marie-Françoise Baslez, Les premiers temps de l'Église, identités chrétiennes, in Les premiers temps de l'Église, éd. Gallimard/Le Monde de la Bible, 2004, p. 21
  70. Jacques et Jean, fils de Zédédée, Matthieu, Judas, ... sont des patronymes sémitiques classiques
  71. Barthélemy (Bar Tholomaios) est un patronyme araméen, cité par Pierre Debergé
  72. André, Philippe, Didyme attestent de l'ouverture de la Galilée sur l'hellénisme, cités par Marie-Françoise Baslez
  73. Pierre Debergé, La Galilée, une terre grecque païenne ? , in Les premiers temps de l'Église, éd. Gallimard/Le Monde de la Bible, 2004, p. 292
  74. Hans Conzelmann et Andreas Lindemann, Guide pour l'étude du Nouveau Testament, Le Monde de la Bible n° 39, Editions Labor et Fidès
  75. Michel Quesnel, Jésus et le témoignage des Évangiles, op. cit., p. 203
  76. Mt 5:43-48, cité par Daniel Marguerat
  77. Lc 3:7-14, cité par Daniel Marguerat
  78. Daniel Marguerat, Le projet de Jésus, une énigme non résolue ?, in Dossiers d'Archéologie, n° 249, décembre 199, p. 60
  79. (Mc 8:22-26) puis (Mc 10:46-53).
  80. Michel Quesnel, Jésus et le témoignage des Évangiles, op. cit., p. 204,205
  81. Michel Quesnel, Jésus et le témoignage des Évangiles, op. cit., p. 204
  82. Régis Burnet, Qui est Jésus ?, in Religions et Histoire, n°13,05/03/2007, pp.82-89
  83. L'originalité de la doctrine est une question discutée. Pour une vulgarisation, voir Mireille Hadas-Lebel Hillel, un sage au temps de Jésus, éd. Albin Michel, 1999; et pour un approfondissement, voir Pierre Lenhardt et Matthieu Collin, La Torah orale des Pharisiens. Textes de la Tradition d'Israël, supplément au Cahiers Évangiles n°73, 116 pages 1990, et Dominique de la Maisonneuve, Paraboles rabbiniques, supplément au Cahiers Évangiles, n°50, 64 pages, 1984.
  84. les rédacteurs des évangiles lui donnent une connaissance des textes religieux dans les nombreuses polémiques qui émaillent les évangiles, notamment avec les pharisiens, et dont il se sort avec virtuosité, toute ... pharisienne, comme le montre la discussion sur le respect du shabbat quand une vache tombe dans le puit. La structure rhétorique est celle mise au point par les pharisiens au point que certains auteurs récents (eg Hyam Maccoby Jesus the pharisee (2003) et James DG Dunn Jesus, Paul and the Law: Studies in Mark and Galatians, John Knox Press 1990) en font un pharisien. Les récits concluent que ses adversaires n'osent plus l'affronter (Cf Mt 22:46, Mc 12:34, Lc 20:40)}}
  85. Schalom Ben Chorim, Mon frère Jésus. Seuil, 1983
  86. Cette autorité, notamment au sujet de la Torah, semble s'inscrire dans une tradition prophétique plutôt que celle des interprètes de la loi, cf. Pierre Geoltrain, Les origines du Christianisme : comment en écrire l'histoire, op. cit. p. XXIV
  87. Etienne Nodet o.p. signale que la structure du groupe Jésus + disciples correspond à la structure Maître + disciples que pratiquaient seuls les maîtres pharisiens. Dans Etienne Nodet o.p. et Marie Françoise Baslez La crise maccabéenne : Historiographie juive et traditions bibliques, CERF, recension et interview de Nodet dans "Le Monde de la Bible, n°, 168"
  88. Même s'il peut l'interpréter différemment : voir l'épisode repris dans Jn 7:21-24)
  89. Le sabbat a été fait pour l'homme, et non l'homme pour le sabbat (Mc 2:23-28)
  90. Gérard Rochais, Jésus et les courants religieux de son époque, in « Jésus au regard de l'Histoire », op. cit, pp. 33-34.
  91. Etienne Nodet


18/05/2008
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