Marilyn Monroe - Partie 2
Un des grands mystères de la vie de Marilyn est l'identité de son père. La mère de Marilyn, Gladys Baker, ou Gladys Mortenson, ou Mortensen, était une femme instable et fragile, née Gladys Pearl Monroe le 24 mai 1900 à C.P. Diaz au Mexique. Gladys a un temps travaillé comme monteuse à la RKO, dans l'industrie cinématographique. On sait peu de chose de son premier mari si ce n'est qu'il se nommait Jack Baker et qu'il a été le père de deux enfants de Gladys : Hermitt Jack (24 janvier 1918-années 1920, mort de tuberculose) et Bernice (30 juillet 1919-?, connue comme Bernice Miracle), les demi-frère et demi-sœur de Marilyn donc. À la naissance de Norma Jeane, Jack avait disparu depuis longtemps et Gladys a probablement alors entretenu diverses liaisons. C'est là que le père de Marilyn intervient : selon les biographes et spécialistes de Marilyn et selon ce qu'elle-même en a (peu) su et dit, deux possibilités coexistent :
- Martin Edward Mortenson, ou Mortensen : second mari de Gladys (mariage le 11 octobre 1924), un boulanger né en Norvège en 1897 où il a abandonné femme et (trois) enfants pour se rendre aux États-Unis. Rapidement il quitta aussi Gladys et se tua dans un accident de moto le 18 juin 1929 en Ohio. Mais cela n'est pas aussi simple que cela : selon la littérature, un autre Martin Edward Mortenson est décédé en Californie en 1981, lequel clamait être le père de Marilyn et possédait une copie de son certificat de naissance. Sur le certificat de naissance de Marilyn, le nom du père mentionné est Edward Mortenson, ainsi que sur le certificat de mariage avec DiMaggio.
- C. Stanley Gifford : il a été l'amant de Gladys entre 1925 et 1926 alors qu'ils étaient collègues de travail. Leur liaison s'est terminée lorsque Gladys lui a annoncé être enceinte. Marilyn pensait qu'il était son père et a essayé d'entrer en contact avec lui à plusieurs reprises, sans succès ; plus tard, c'est lui qui lui a écrit et téléphoné à quelques années d'intervalle, sans succès également : elle aurait commenté qu'"il était trop tard".
Mariages et maris [modifier]
Elle se maria trois fois :
- juin 1942-septembre 1946 : elle se marie lorsqu'elle a 16 ans avec James Dougherty (1921-2005), voisin et élève dans la même école secondaire qu'elle.
- janvier 1954-octobre 1954 : elle se marie avec le célèbre joueur de base-ball Joe DiMaggio (1914-1999). Malgré leur divorce, ils furent très proches l'un de l'autre jusqu'au décès de Marilyn. DiMaggio, selon la légende, était resté amoureux d'elle jusqu'à la fin de sa vie, en mars 1999. Ses dernières paroles, selon son conseiller Morris Engelberg, auraient été « I'll finally get to see Marilyn » (« Je vais enfin revoir Marilyn »)
- juin 1956-janvier 1961 : elle se marie enfin avec le dramaturge Arthur Miller (1915-2005) qui composa pour elle le film Les Désaxés.
Un quatrième mariage aurait été contracté avec un certain Robert Slatzer (1927-2005), qui a écrit avoir été l'ami et l'amant de Marilyn sur une assez longue période. Selon lui – car il semble que les amis de Marilyn ne l'aient pas connu –, Robert Slatzer, à cette époque journaliste, aurait été uni à l'actrice quelques jours, en octobre 1952. Mais cette union reste vraiment sujette à caution en raison de l'absence de tout document officiel - Slatzer déclarera, plus tard, que le mariage avait été annulé sous la pression des studios américains - et en raison d'un chèque signé de la main de Marilyn, le 4 octobre 1952, dans une boutique de luxe de Los Angeles, et qui invalide fortement les propos de Slatzer.
Vie amoureuse [modifier]
Comme Marilyn s'est souvent confiée à des proches. La liste de ses amants a pu être ainsi quasiment reconstituée et est devenue pour ainsi dire publique. Parmi les amants les plus connus, on trouve Marlon Brando - qui a toujours refusé de s'exprimer au sujet de Marilyn -, Charlie Chaplin Jr. - le fils de Charlot -, Sammy Davis Jr., André de Diènes, Howard Hughes, Elia Kazan, John F. Kennedy, Robert Kennedy, Yves Montand, Frank Sinatra, Elvis Presley. Bien évidemment tout cela est sujet à caution, mais appartient à la légende.
Sépulture [modifier]
Le corps de Marilyn repose à Los Angeles, au cimetière Westwood Memorial Park, où se trouvent également les tombes d'une trentaine d'autres célébrités. Carte du cimetière
Incertitudes autour de sa mort [modifier]
Marilyn commence, en 1962, le tournage de Something’s Got To Give de George Cukor. Ce tournage est interrompu en juin 1962, Marilyn est trop épuisée physiquement et ne peut continuer. Elle sera contrainte ainsi que Dean Martin son partenaire (qui prend sa défense) à payer des dommages et intérêts à la Fox pour rupture de contrat. Marilyn organise une campagne publicitaire et obtient le renouvellement du contrat le 1 août 1962. En échange d'honoraires dignes de la star qu'elle était, elle s'engage à renvoyer Paula Strasberg, son coach. On s'attendait à la reprise du tournage de "Something's Got To Give" le plus vite possible.
Très instable psychologiquement, dans la nuit du 4 au 5 août, elle décède. Les vraies raisons de son décès restent aujourd'hui encore l'objet de polémiques.
La légende dit qu'elle s'est mise dans une dernière position de dame rebelle et sexy, puis s'est endormie avec un verre de whisky, et qu'elle mourut dans la nuit.
Le rapport du médecin-légiste de Los Angeles parle de suicide probable, dû à une overdose de barbituriques.
Selon le romancier américain Norman Mailer, Marilyn aurait été victime d'un complot ourdi par le F.B.I. et la C.I.A. dans le but d'accumuler des preuves contre les Kennedy. L'écrivain en fait la première victime d'une série d'assassinats politiques incluant les Kennedy, Malcolm X et Martin Luther King.
Selon Anthony Summers, qui enquêta sur sa mort, à tous les échelons des intimes et du pouvoir (Robert Kennedy, alors ministre de la Justice, était, dit-on, l'amant de l'actrice), on s'employa à faire du suicide volontaire ou involontaire de Marilyn quelque chose d'inévitable.
D'après Don Wolfe (Marilyn Monroe, Enquête sur un assassinat, 1998), Marilyn Monroe a été assassinée. Cette version impliquerait Robert Kennedy et tout un ensemble de proches de l'actrice qui se seraient tus pendant des années.
Selon Donald Spoto, l'un de ses biographes les plus fiables, Marilyn est décédée à la suite d'une erreur médicale. On lui aurait administré un lavement à l'hydrate de chloral (le chloral lui permettait de dormir) alors qu'elle avait absorbé, préalablement, du Nembutal. Le mélange de ces deux substances peut, paraît-il, s'avérer fatal.
Cette mort a inspiré dès 1963 la chanson Who killed Norma Jean ? de Norman Rosten et Pete Seeger.
Filmographie [modifier]
Cliquez sur une vignette pour l'agrandir.
- 1947 : Dangerous Years d'Arthur Pierson avec Billy Halop, Scotty Beckett et Donald Curtis
Marilyn Monroe y joue une serveuse, Evie - 1948 : Bagarre pour une blonde (Scudda Hoo! Scudda Hay! ) d'Hugh Herbert avec June Haver, Lon McCallister et Natalie Wood
une jeune fille dans un canoë, au loin - 1948 : Les reines du music-hall (Ladies of the Chorus) de Phil Karlson avec Adele Jergens et Rand Brooks
Peggy Martin, une danseuse de revue - 1949 : La pêche au trésor (Love Happy) de David Miller avec Harpo, Chico et Groucho, des Marx Brothers, et Ilona Massey
une blonde poursuivie par des hommes - 1950 : Le petit train du Far-West, ( A Ticket to Tomahawk) de Richard Sale avec Dan Dailey et Anne Baxter
Clara, une chanteuse danseuse - 1950 : Quand la ville dort (The Asphalt Jungle) de John Huston avec Sterling Hayden et Louis Calhern
Angela Phinlay, maîtresse d'un avocat, qui la fait passer pour sa nièce - 1950 : Les Rois de la piste (The Fireball ) de Tay Garnett avec Mickey Rooney et Pat O'Brien
Polly, une amie de Johnny - 1950 : Ève (All About Eve) de Joseph Mankiewicz avec Bette Davis et Anne Baxter
Miss Caswell, protégée du critique DeWitt - 1950 : Tourment (Right Cross) de John Sturges avec June Allyson et Dick Powell
Dusky Ledoux, une jolie fille qui accompagne Rick dans une boîte de nuit - 1951 : Home Town Story de Arthur Pierson avec Jeffrey Lynn et Donald Crisp
Iris Martin, secrétaire du journal - 1951 : Rendez-moi ma femme (As Young as You Feel) de Harmon Jones avec Monty Woolley et Thelma Ritter
Harriet, secrétaire d'un directeur de société - 1951 : Nid d'amour (Love Nest) de Joseph Newman avec June Haver et William Lundigan
Roberta Stevens, une nouvelle voisine - 1951 : Chéri, divorçons (Let's Make It Legal) de Richard Sale avec Claudette Colbert et Macdonald Carey
Joyce Mannering, une femme qui sort avec Hugh lequel veut rendre jalouse son ex-femme - 1952 : Le démon s'éveille la nuit (Clash by Night) de Fritz Lang avec Barbara Stanwyck et Paul Douglas
Peggy, qui travaille dans une conserverie de poissons et qui aime Joe - 1952 : Cinq mariages à l'essai (We're Not Married!) de Edmund Goulding avec Ginger Rogers et Fred Allen
Annabel Norris, Mrs. Mississippi, que son mari préférerait voir en gentille femme au foyer - 1952 : Troublez-moi ce soir (Don't Bother to Knock) de Roy Ward Baker avec Richard Widmark et Anne Bancroft
Nelle Forbes, une baby-sitter - 1952 : Chérie, je me sens rajeunir (Monkey Business) de Howard Hawks avec Cary Grant, Ginger Rogers et Charles Coburn
Miss Lois Laurel, une secrétaire dans un laboratoire scientifique - 1952 : La Sarabande des pantins (O. Henry's Full House) (film de cinq sketches: ici nous ne mentionnons que les données concernant celui avec Marilyn, The Cop and the Anthem) de Henry Koster avec Charles Laughton et David Wayne
Margie, une prostituée - 1953 : Niagara de Henry Hathaway avec Joseph Cotten, Jean Peters et Max Showalter
Rose Loomis, une femme descendue dans un hôtel avec son mari - 1953 : Les Hommes préfèrent les blondes (Gentlemen Prefer Blondes) de Howard Hawks avec Jane Russell, Charles Coburn et Elliott Reid
Lorelei Lee, une chercheuse de dot, chanteuse - 1953 : Comment épouser un millionnaire (How to Marry a Millionaire) de Jean Negulesco avec Betty Grable, Lauren Bacall et David Wayne
Pola Debevoise, un modèle qui cherche un mari - 1954 : La Rivière sans retour (River of No Return) de Otto Preminger avec Robert Mitchum, Rory Calhoun et Tommy Rettig
Kay Weston, une chanteuse de cabaret - 1954 : La Joyeuse Parade (There's No Business Like Show Business) de Walter Lang avec Ethel Merman, Donald O'Connor et Dan Dailey
Vicky, une chanteuse dans une boîte de nuit - 1955 : Sept Ans de réflexion (The Seven Year Itch) de Billy Wilder avec Tom Ewell
la fille au-dessus, une voisine, modèle à la télévision - 1956 : Arrêt d'autobus (Bus Stop) de Joshua Logan avec Don Murray, Arthur O'Connell et Betty Field
Cherie, femme légère qui voudrait devenir chanteuse - 1957 : Le Prince et la danseuse (The prince and the showgirl) de Laurence Olivier avec Laurence Olivier, Sybil Thorndike et Richard Wattis
Elsie Marina, une danseuse de music-hall - 1959 : Certains l'aiment chaud (Some Like It Hot) de Billy Wilder avec Tony Curtis, Jack Lemmon et George Raft
Sugar Kane Kowalczyk, chanteuse et joueuse de ukulélé - 1960 : Le Milliardaire (Let's Make Love) de George Cukor avec Yves Montand, Tony Randall et Frankie Vaughan
Amanda Dell, une actrice de théâtre et chanteuse - 1961 : Les Désaxés (The Misfits) de John Huston avec Clark Gable, Montgomery Clift et Thelma Ritter
Roslyn Tabor, femme divorcée vulnérable - 1962 : Something's Got to Give (Something's Got To Give) film inachevé de 37 minutes de George Cukor avec Dean Martin et Cyd Charisse
Ellen Arden, une femme disparue il y a plusieurs années en mer qui revient à la maison.
Voix françaises de Marilyn Monroe [modifier]
Bibliographie [modifier]
(Début de bibliographie, à compléter puisque de nombreux bouquins en français sont disponibles. Les livres en anglais, comme les éditions épuisées, sont mentionnés en raison de leur(s) qualité(s) et parce qu'à l'heure actuelle il peut être assez facile de les dénicher d'occasion, ou même neufs, sur le net.)
- Michael Conway et Mark Ricci, Marilyn Monroe, Henri Veyrier, Paris, 1974, traduction de Henri Daussy. Epuisé. (Bon compte-rendu de la filmographie, des critiques de l'époque, très belles photos de tournage.)
- Norman Mailer, Marilyn - a biography, Grosset & Dunlap, New York, 1973 ; (français: "Mémoires imaginaires de Marilyn Monroe", Ed.: 10-18, 1991, ISBN 2264016434), plusieurs rééditions en anglais; tirages épuisés, mais cela se trouve assez facilement sur internet. (Cette bio est discutée car d'aucuns commentent que Mailer parle moins de Marilyn que de sa fixation sur Marilyn; l'iconographie est cependant absolument superbe.)
- Randall Riese et Neal Hitchens, The unabridged Marilyn - Her life from A to Z, Congdon & Weed, Inc., New York, 1987 ; plusieurs retirages chez différents éditeurs ensuite, sinon disponible; en anglais seulement. (Assez nécessaire pour tout fan, car la vie de Marilyn, les gens, les films, etc. sont classés par ordre alphabétique: une mine de renseignements.)
- Anthony Summers, Les vies secrètes de Marilyn Monroe (Goddess - The secret lives of Marilyn Monroe, 1985), Presses de la Renaissance, Paris, 1986, traduction de Daniel Authier; Jai lu, 1987 ; tirages épuisés mais la version de poche se trouve encore facilement neuve. (Considéré, notamment par le A to Z, comme un des bons livres sur Marilyn.)
- Michel Schneider : "Marilyn dernières séances" Grasset, Prix Interallié 2006, ISBN 2246703719. Roman sur sa psychanalyse avec Ralph Greenson. Michel Schneider donne une synthèse romancée mais très documentée sur sa fin.
Egalement, concernant les souvenirs de Marilyn et le niveau élevé de son image sur le marché des objets de collection:
- The Personal Property of Marilyn Monroe, catalogue de vente aux enchères de la maison Christie's, opération ayant eu lieu les mercredi 27 et jeudi 28 octobre 1999 à New York; il s'agit d'un catalogue cartonné de 415 pages, un beau livre donc, présentant (photos et descriptions) tous les objets imaginables mis en vente à cette occasion provenant de la succession, à savoir habits, lettres, photos, livres, bijoux, vaisselle, documents officiels... Une merveille qui nous fait entrer de plein pied dans la vie quotidienne de Marilyn: un must pour le hard fan.
Pour l'anecdote, les quelque 576 lots de cette vente avaient été légués par Marilyn à Lee Strasberg dans l'espoir qu'il les remettrait au cercle des amis, ce qu'il n'a pas fait: les biens ont été thésaurisés et, à la mort de Lee, remis à son épouse Anna Strasberg, qui s'en est donc séparée lors de cette vente aux enchères. Le montant total des enchères avait été estimé entre $ 10 et 15 mio. et s'est élevé finalement $ 13,4 mio.
Citations [modifier]
- – Que portez-vous pour dormir ?
– N° 5 de Chanel - – Entre deux séances de photos, que mettez-vous ?
– La radio - (de retour après une tournée auprès des armées dans la guerre de Corée) – Comment vous êtes-vous sentie ?
– En sécurité - "Sous mes robes, je ne porte ni gaine ni soutien-gorge."
- "Tout ce qui compte vaut la peine d'attendre."
- "Je n'ai jamais envie de blesser quelqu'un, mais vous ne pouvez pas être trop gentille avec les gens car ils vous piétineraient à mort !"
- "À Hollywood la vertu d'une jeune fille a beaucoup moins d'importance que le style de sa coiffure On vous juge sur votre apparence, pas sur le reste. Hollywood, c'est un endroit où on vous offre mille dollars d'un baiser et cinquante cents de votre âme. Je le sais, j'ai assez souvent refusé la première proposition et tenu bon pour les cinquante cents.
- "Etre une ratée à Hollywood c'est comme mourir de faim à la porte d'un banquet. L'odeur du filet mignon peut vous rendre folle."
- "Une carrière c'est fantastique, mais on ne peut pas se blottir contre elle la nuit lorsqu'on a froid."
- "Je dors toujours la bouche ouverte. Je le sais parce qu'elle est ouverte quand je m'éveille."
- "L'argent ne m'intéresse pas. Je veux juste être merveilleuse."
- "Je ne serai jamais une grande artiste, mais, en travaillant, je peux encore espérer en devenir une bonne."
- "Les femmes ont à leur disposition deux armes terribles : le fard et les larmes. Heureusement pour les hommes elles ne peuvent pas s'en servir en même temps."
- En réponse à la question d'un journaliste : "portez-vous de faux seins?", Marilyn rétorqua : "Ceux qui me connaissent vraiment n'ont pas besoin de le demander !"
- À la question : "Est-ce que cela ne vous ennuie pas de vivre dans un monde fait par et pour l'homme ?", Marilyn répondait: "Cela ne m'ennuie pas tant que je puis y être une femme."
- "Les chambres séparées respirent la solitude. J'estime que les gens ont besoin de chaleur humaine, même s'ils sont endormis et inconscients."
- "Avec Joe di Maggio, au temps du cinéma muet, nous aurions fait un excellent couple."
- À propos d'Arthur Miller, Marilyn disait : "C'est un merveilleux auteur, et un homme très brillant. Mais je pense qu'il est meilleur auteur que mari."
- Arthur Miller, lui, affirmera : "Le soleil paraît terne à côté de Marilyn.", mais aussi que "Marilyn était la fille la plus triste du monde".
- En 1950 Groucho Marx l'engage pour le film "La pêche au trésor" car selon ses dires "elle a le plus beau cul de la profession !"
- " Voila l'ennui...un sexe symbol devient une chose. J'ai horreur d'être une chose. Pourtant, quitte à être un symbole, j'aime autant être un symbole érotique plutôt que de symboliser n'importe quoi!"
Mensurations [modifier]
Année | Mensurations |
---|---|
1945 | 92-64-88 |
1946 | 92-64-92 |
1951 | 95-62-88 |
1952 | 92-62-88 |
1955 | 97-62-92 |
1956 | 95-62-95 |
En 1955, Marilyn suggéra que son épitaphe fût : « Ici repose Marilyn Monroe, 97-62-92 »
Notes [modifier]
- ↑ C'est le célèbre épisode sensuel du « Happy Birthday, Mister Président ». La robe qu'elle portait ce jour là a été vendue en octobre 1999 pour 1 M$ lors de la dispersion à New York des objets de la star.
- ↑ Cf. Incertitudes autour de sa mort.
Voir aussi [modifier]
Liens externes [modifier]
- (fr+en) Marilyn Monroe sur l'Internet Movie Database
- Sites d'admirateurs : (en) [1], (fr) [2], (fr) [3], (fr) [4]
- (en) Dossiers du FBI, deux fichiers [pdf] (97 pages)
- (fr) Quelques citations de Maryline Monroe