Les chercheurs ont pris les photos de 56 personnes souffrant de troubles alimentaires
et de 209 personnes sans trouble alimentaire. Ils ont ensuite demandé aux participants d'ajuster l'image de leur corps, sur un écran d'ordinateur, jusqu'à temps qu'ils se reconnaissent.
Ils leur ont aussi demandé de donner à l'image virtuelle de leur corps la forme qu'ils souhaiteraient qu'il ait.
Alors que tous les participants avaient des notions similaires de la silhouette idéale, ceux qui souffraient de boulimie et d'anorexie surestimaient tous leur véritable masse corporelle. Au contraire, les participants ne souffrant pas de troubles alimentaires se croyaient plus mincea qu'ils ne l'étaient en réalité.
Donc, une image de leur propre corps erronée plutôt qu'un idéal exagéré interviendrait dans le développement des troubles de l'alimentation.
Barbara Mangweth, psychologue à l'Université d'Innsbruck (Australie) et des collègues américains sont parvenus à des conclusions similaires dans une étude portant sur des hommes souffrant de troubles alimentaires. Les chercheurs ont comparé 27 participants anorexiques et boulimiques à un groupe de 21 alpinistes et à un groupe de comparaison de 21 participants.
Les participants avaient des idées similaires sur la silhouette masculine idéale mais faisaient des évaluations très différentes de leurs propres corps. À la différence du groupe des alpinistes et du groupe de comparaison, les boulimiques et les anorexiques croyaient tous qu'ils avaient environ 2 fois plus de masse graisseuse qu'en réalité.
Source: Scientific American
Ils leur ont aussi demandé de donner à l'image virtuelle de leur corps la forme qu'ils souhaiteraient qu'il ait.
Alors que tous les participants avaient des notions similaires de la silhouette idéale, ceux qui souffraient de boulimie et d'anorexie surestimaient tous leur véritable masse corporelle. Au contraire, les participants ne souffrant pas de troubles alimentaires se croyaient plus mincea qu'ils ne l'étaient en réalité.
Donc, une image de leur propre corps erronée plutôt qu'un idéal exagéré interviendrait dans le développement des troubles de l'alimentation.
Barbara Mangweth, psychologue à l'Université d'Innsbruck (Australie) et des collègues américains sont parvenus à des conclusions similaires dans une étude portant sur des hommes souffrant de troubles alimentaires. Les chercheurs ont comparé 27 participants anorexiques et boulimiques à un groupe de 21 alpinistes et à un groupe de comparaison de 21 participants.
Les participants avaient des idées similaires sur la silhouette masculine idéale mais faisaient des évaluations très différentes de leurs propres corps. À la différence du groupe des alpinistes et du groupe de comparaison, les boulimiques et les anorexiques croyaient tous qu'ils avaient environ 2 fois plus de masse graisseuse qu'en réalité.
Source: Scientific American