L’auto-agression, les blessures à soi-même
La violence contre soi-même
La violence contre soi-même concerne d’une façon générale toutes les atteintes faites à son corps, sa santé ou même son hygiène de vie. Cela peut aller de la simple négligence (la négligence peut être également la marque d'un état dépressif, la personne n'ayant plus l'énergie nécessaire pour se laver, s'habiller,...) au délabrement, volontaire ou non, pour manifester une souffrance qui ne sait s’exprimer autrement.
Certains de ces comportements sont gravissimes puisqu’ils peuvent aller jusqu’à la mort.
Cette attitude est le reflet d’une souffrance psychique particulièrement intense, conséquence d’un mal-être profond aux raisons diverses, d’une frustration impossible à surmonter ou à accepter par l’adolescent. Les adolescents dans l'incapacité d'exprimer leurs ressentiments par le langage trouvent comme issue l’auto-agressivité, tandis que d’autres optent pour l’agressivité contre autrui.
L’auto-agression est en général impulsive. Elle s’exerce soit dans des moments d'angoisse paroxystique où domine le sentiment d’être acculé, soit dans des moments apparemment calmes où la sensation d’anéantissement, d’annihilation est insupportable.
Pour certains adolescents, s’agresser soi-même est une manière d’attirer l’attention. Le jeune a le sentiment d’être abandonné ou rejeté. Il retourne contre lui-même l’hostilité réelle ou supposée de ses proches. D’autres agissent dans le secret.
Cet acte a un effet d’apaisement, de relâchement des tensions. Dans l’incapacité de contrôler la situation, le jeune en souffrance submergé par la violence, se blesse dans un acte de substitution.
Certains de ces comportements sont gravissimes puisqu’ils peuvent aller jusqu’à la mort.
L’auto-agression, les blessures à soi-même :
L’auto agression est une atteinte portée à l’intégralité du corps. Il arrive que l’adolescent soit très violent à l’égard de son propre corps, jusqu’à s’infliger des tortures : coups contre un mur, scarifications, (incision de la peau), brûlures...Cette attitude est le reflet d’une souffrance psychique particulièrement intense, conséquence d’un mal-être profond aux raisons diverses, d’une frustration impossible à surmonter ou à accepter par l’adolescent. Les adolescents dans l'incapacité d'exprimer leurs ressentiments par le langage trouvent comme issue l’auto-agressivité, tandis que d’autres optent pour l’agressivité contre autrui.
L’auto-agression est en général impulsive. Elle s’exerce soit dans des moments d'angoisse paroxystique où domine le sentiment d’être acculé, soit dans des moments apparemment calmes où la sensation d’anéantissement, d’annihilation est insupportable.
Pour certains adolescents, s’agresser soi-même est une manière d’attirer l’attention. Le jeune a le sentiment d’être abandonné ou rejeté. Il retourne contre lui-même l’hostilité réelle ou supposée de ses proches. D’autres agissent dans le secret.
Cet acte a un effet d’apaisement, de relâchement des tensions. Dans l’incapacité de contrôler la situation, le jeune en souffrance submergé par la violence, se blesse dans un acte de substitution.