Liste d'établissements et de thérapies pour le trouble anxieux
Les Thérapies pour les Troubles Anxieux
Le choix du thérapeute – en tant que personne physique - est également primordial tant la confiance mutuelle peut être un facteur déterminant pour la suite des événements. |
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Thérapie Classique La thérapie dite "classique" : c’est une situation de face à face avec un psychiatre ou un psychologue, au cours de laquelle le sujet s’entretient avec son interlocuteur des difficultés qui l’affectent et de l’impact négatif qui en résulte sur sa vie quotidienne. Le thérapeute écoute, oriente, intervient plus ou moins, puis tente d’effectuer un diagnostic qui le conduira éventuellement à proposer un traitement médicamenteux. La durée d’une séance est variable, se rapprochent généralement de la demi-heure. Par ailleurs elle peut inclure dans le cadre d’une thérapie conjugale ou familiale plusieurs personnes concernées par les problèmes mis à jour. Ici, le thérapeute se place comme une sorte de "conseil de référence". |
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Psychanalyse La psychanalyse : elle est toujours individuelle et s’appuie sur la "méthode du divan". Le sujet va s’évertuer à retracer son parcours depuis l’enfance et y rechercher les causes enfouies de ses difficultés actuelles. Le psychanalyste intervient uniquement pour proposer des interprétations qui constituent en fait des pistes de réflexion visant à donner un sens à ce que vit le patient. Le psychanalyste s’appuie sur le "transfert" ; lien affectif qui s’instaure entre le sujet et l’analyste, et qui va permettre au patient de rejouer des "scènes-clés" de son histoire pour y trouver une issue favorable. La psychanalyse est un investissement au long terme mais a le mérite d’aller au fond des choses. |
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Thérapie Comportementale et cognitive Les thérapies cognitivo-comportementales (dites "TCC") : ces thérapies plus récentes préconisent le fait que la plupart de nos comportements sont le fruit d’un conditionnement familial et socioculturel déterminé, qu’il est possible de modifier – au moins d’assouplir – grâce à un réapprentissage d’attitudes plus appropriées. Il s’agit d’un véritable entraînement structuré, régulier et progressif, individuel ou en groupe, durant lequel le sujet va être confronté directement, mais très progressivement, aux situations redoutées. Le thérapeute mettra en lumière la primauté de l’aspect cognitif dans nos réactions face aux situations anxiogènes et en montrera l’exagération, le "catastrophisme" et souvent l’absence de fondement objectif. Le thérapeute est ici – plus que jamais – un partenaire, un entraîneur, avec lequel on peut établir un "plan de bataille" cohérent. D’une durée moyenne de 6 mois à un an, ces thérapies obtiennent globalement de bons résultats en ce qui concerne les troubles phobiques et ont aussi l’avantage certain de rendre au patient son statut d’acteur engagé et responsable. Le médecin peut également envisager d’associer un traitement médicamenteux s’il estime que le patient a besoin de cette "béquille" provisoire. |
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Pleine Conscience / Mindfulness - la MBCT (thérapie cognitive basée sur la pleine conscience pour éviter les rechutes de dépression) |
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Therapie d'Acceptation et d'Engagement Aux pires moments de la vie - ou même quand tout est tranquille - nous arrivent des pensées déplaisantes, des émotions négatives, des sensations douloureuses, ou encore des souvenirs pénibles, et qui nous font souffrir.
En cherchant à se débarrasser de cette souffrance intérieure, il est aisé de se retrouver ‘coincés dans la lutte. On s'épuise alors dans un combat qu’il est rare de gagner. Pendant ce temps, la vie s’écoule et il ne reste plus d’énergie pour avancer vers les choses qui sont vraiment importantes dans la vie.
Personne ne choisi de se retrouver coincé, l'ACT explique comment le piège peut se refermer sur nous. La suite sur ce lien ... Liens principaux :
Hospitalisation
Pour être hospitalisé dans un service dédié aux troubles anxieux et bénéficier d'une prise en charge, il faut que ce soit dans un cadre spécifique avec une prise en charge cognitivo-comportementale. Sinon, le risque est de se retrouver dans un service général, où l'on est confrontée à des personnes atteintes de troubles psychotiques graves et souvent chronicisées.
Si vous ne pouvez pas vous déplacer ni être accompagné, il faudrait contacter l’assistante sociale de votre mairie pour une aide ou prendre contact avec le Centre médico-psychologique dont vous dépendez géographiquement. Sur Paris, consulter les structures d'accueil sur le site Psycom 75. Dans un premier temps, vous pouvez bénéficier de la visite d'une infirmière psychiatrique ou de l'assistante sociale de votre secteur.
Il y a quelques Cliniques que nous pouvons recommander :
- Berus en Allemagne, à la frontière qui a un accord avec la sécurité sociale française, 100% TCC et bilingue.
Pour pouvoir y être admis, il faut que le médecin conseil de la sécurité sociale délivre le formulaire S2 (ex E112), ce qui est possible si l'on peut démontrer que le patient ne peut-être soigné en France.
- en Rhône-Alpes :
- A Lille :
- En Suisse :
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►► SAUJON (proche de Royan) ► USSAT-LES-BAINS (proche de Foix - Ariège)
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