Michael Douglas : L'acteur s'est confié sur la bipolarité de sa femme
Michael Douglas : L'acteur s'est confié sur la bipolarité de sa femme
Publié le 27/04/2011 à 12:45
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Fin de la mauvaise passe pour les Douglas. Le couple d'acteurs stars a vécu les heures les plus noires de son histoire mais il désormais temps de tourner la page. Mardi soir, sur le célèbre plateau d'Oprah Winfrey, Michael Douglas s'est ainsi laissé allé à toutes les confessions notamment au sujet de l'hospitalisation de Catherine Zeta-Jones.
Nouveau rebondissement dans le drame familial. L'acteur révèle qu'un patient du centre de santé mentale Silver Hill au Connecticut ou a été hospitalisé Catherine Zeta-Jones s'était confié au National Enquiere. «Je dois vous dire que Catherine a été comme un livre ouvert à propos de sa bipolarité parce qu'elle a été «vendue» » a confié l'acteur. En amont de ces révélations, Catherine Zeta-Jones a donc choisi de faire le «coming-out» de sa bipolarité. Un aveu plus ou moins obligé pour l'actrice de 41 ans. Dans le magazine People, elle avait alors déclaré: «Il n'est pas nécessaire de souffrir en silence et il n'y a pas de honte à demander de l'aide». Une confession tout a fait honorable pour une actrice hollywoodienne de son rang.
L'an dernier, lorsque le héros de Wall Street se battait de toutes ses forces contre un cancer que l'on pensait incurable, sa femme semblait prendre ses distances. Une position sûrement choisie afin de la protéger elle-même de ses propres troubles. Une fois le cancer de Michael miraculeusement vaincu, Catherine Zeta-Jones a elle aussi eu le droit à sa part d'exposition médiatique, mais pas pour la meilleure des raisons. «Mon fils aîné est incarcéré dans une prison fédérale, mon ex-femme me poursuit en justice et j'ai eu un cancer. C'était assez difficile pour mon épouse de déclarer: «je suis déprimée» a précisé Michael Douglas.
Véritables piliers l'un pour l'autre, Catherine et Michael sont désormais plus fort que jamais. Après toutes ces épreuves, le couple peut espérer retrouver un peu de tranquillité et un semblant de vie de famille «normale».
Laure Costey