Le TOC est un troubles anxieuxdans lequel les personnes éprouvent des peurs et des inquiétudes
irrationnelles qu'elles essaient de gérer à travers des comportements rituels compulsifs qui ont pour but de réduire l'anxiété.
Par exemple, une personne peut sentir un besoin impératif de s'engager dans certains rituels tels que se laver les mains ou vérifier répétitivement si le four est éteint ou si la porte est barrée.
Des études précédentes, utilisant des images de l'activité du cerveau, avaient montré des changements dans certaines régions du cerveau (dans les circuits frontaux-subcorticaux) avec les traitements par thérapie cognitive behaviorale ou par antidépresseurs. Ces changements n'apparaissaient toutefois qu'après 12 semaines de traitements.
La récente recherche comparait 10 personnes souffrant de TOC et 12 personnes en santé.
La psychothérapie qui était utilisée est appelée "l'exposition et la prévention de la réponse" qui désensibilise graduellement la personne aux choses qui provoquent les peurs et les inquiétudes irrationnelles.
"Il s'agit du principal type de thérapie utilisée pour le TOC. Il consiste à enseigner à porter attention aux expériences internes et à tolérer les pensées effrayantes sans avoir à agir", explique Sanjaya Saxena, principale auteure de la recherche. "Les participants apprennent que rien de terrible ne se produit s'ils retiennent leurs comportements compulsifs habituels".
Après quatre semaines de séances de psychothérapie quotidiennes, sans changements dans la médication, les participants souffrant de TOC manifestaient des améliorations significatives en ce qui concerne les symptômes de TOC, la dépression, l'anxiété et le fonctionnement général.
Les images du cerveau montraient une activité accrue dans le thalamus gauche et droit. Ces régions sont impliquées dans le TOC et de nombreuses études ont montré des changements dans ces régions après des traitements à long terme.
Les images ont aussi montré une activité accrue dans le cortex cingulé dorsal antérieur droit, une région impliquée dans la ré-évaluation et la suppression des émotions négatives. Cette activité accrue était en lien avec l'amélioration des symptômes.
Une activité accrue dans cette région a également été observée après la thérapie behaviorale pour la dépression majeure.
Par exemple, une personne peut sentir un besoin impératif de s'engager dans certains rituels tels que se laver les mains ou vérifier répétitivement si le four est éteint ou si la porte est barrée.
Des études précédentes, utilisant des images de l'activité du cerveau, avaient montré des changements dans certaines régions du cerveau (dans les circuits frontaux-subcorticaux) avec les traitements par thérapie cognitive behaviorale ou par antidépresseurs. Ces changements n'apparaissaient toutefois qu'après 12 semaines de traitements.
La récente recherche comparait 10 personnes souffrant de TOC et 12 personnes en santé.
La psychothérapie qui était utilisée est appelée "l'exposition et la prévention de la réponse" qui désensibilise graduellement la personne aux choses qui provoquent les peurs et les inquiétudes irrationnelles.
"Il s'agit du principal type de thérapie utilisée pour le TOC. Il consiste à enseigner à porter attention aux expériences internes et à tolérer les pensées effrayantes sans avoir à agir", explique Sanjaya Saxena, principale auteure de la recherche. "Les participants apprennent que rien de terrible ne se produit s'ils retiennent leurs comportements compulsifs habituels".
Après quatre semaines de séances de psychothérapie quotidiennes, sans changements dans la médication, les participants souffrant de TOC manifestaient des améliorations significatives en ce qui concerne les symptômes de TOC, la dépression, l'anxiété et le fonctionnement général.
Les images du cerveau montraient une activité accrue dans le thalamus gauche et droit. Ces régions sont impliquées dans le TOC et de nombreuses études ont montré des changements dans ces régions après des traitements à long terme.
Les images ont aussi montré une activité accrue dans le cortex cingulé dorsal antérieur droit, une région impliquée dans la ré-évaluation et la suppression des émotions négatives. Cette activité accrue était en lien avec l'amélioration des symptômes.
Une activité accrue dans cette région a également été observée après la thérapie behaviorale pour la dépression majeure.